bonheur dans l’amour ; ceux qui font grossir et raidir un membre sans valeur ; ceux qui tendent à atténuer les vilaines odeurs malheureusement trop fréquentes sur le corps ; enfin développe plus longuement les histoires que tu racontes d’une façon trop brève, ce qui leur donne de la sécheresse. Et pour t’encourager à suivre mon avis, je te promets à l’avance que lorsque tu me présenteras le résultat de ce nouveau travail, ma munificence saura combler tes moindres désirs.
— Ô mon maître, répondis-je, j’ose espérer, avec le secours de Dieu, vous satisfaire sans grande difficulté.
Et je me suis mis aussitôt à composer ce volume que j’ai nommé :
ATTAR EL ARAOUD (Le Parfum des Prairies).
Que Dieu vous tienne toujours dans la bonne voie !
Il n’y a de Dieu que Dieu !
Dieu c’est le bien !
Qu’il vous envoie une parcelle de lui !
J’ai placé en tête de chaque chapitre un titre indiquant l’idée de ce qu’il renferme de choses