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Florence. ; 15go : ? in-8o-, avec des notes de Robert ïïii, et un, o autre 171&, in-4o ; poèinê en vers non rim.és, qui prouve duTiuiag’inalion et du, style}, et qui a ét%traduit en français paf in- 12, . 11 a.élé inséré dans le Recueil des poètes agricoles publié àLucques en 178a-, 2 vol. iîi-8° :Ul.Ôresl6, tragédie ̃loiigi. loaipsœanascrileâ et publiée par lemarquisScipion Muflei dans le premier : Volume du. Théâtre’ita^ lien, à Vérone.1 723 an-8v Ses œuvres. on té te réimprimées à Palai iw Ori’cceUarius né à -Flo^bre i’5 1 4 j était allié deS’M^dicis^ et l’ut éleré aux premières charges de sa : : p, iti ; ie. 11 connaissait-pal’* faitemén’t les finesses d"ê’la langue tatinc, ctrocriv.aitavecUne-gràn^ de pureté ; mais personîiéy -pVs/ même Érasme, : ne 1 piiù jùm’aiS billau’l’accuse d’avoïr écrit avec irôptïle piWtia-U le su r •l’èxpéditioli dirrbi Cli.i^lès Vfllcn Ittilie’, dan’Json drfes>i îiy&Sj ptès", iseB ouvragés’ sof(t estBîiés.1 On de la "sèconde ’édition décollé -de ’l ; i Guerre d^taliè. T.. ’t([’abbé), hoiniTie d’il ri pat-t’isan’tjuL a’ait :éiUrei’eiyu une ’Gorresipondancé -continue lie

Son père avait beaucoup de crédit à la cour ; il lui- procura pour plus de* 50, ood livres de béuéfietiSj’et lui donnait.chaque année une pareille sommé. -Il ne fut pas plus’tôt engage ’dails’Fclat ecclésiastique, "qu’il pdyta s’es vues aux premières dign’jtés’de la cour de Home) et acheta une charge de Clerc de’ la -chambre" du pape. Il avait : de la littérature.- Le pape Paul V le consultait souvent sur confiante lui attira tant. d’affaires et tant d’ennemis, qu’il fut enfin obligé de -qiritler Rome et de passer en Frarièe. Le1 maréchal —d’Ancre l’introduisit à la cour ; il’Vy fit aim’eret rechercher, moins cause de la beauté de’ son esprit que de sa grande déperrse ou pour mieux dire de ses profusions" On.vit servir-à sa ta-Jjle’des bassins de vermeil-toutchârgésd ’essences 7 ’de parfums de gants ^d’éventails pour lés convives. Sa’ délicatesse en toutes choses allait’ a rexces. Un rien le blessait ; le soleil, ’le’ serein, le chaud, le froid, ou lu moindre intempérie’ de l’air altérèrent sa constitution.’ Ce fut lui qui’ apporta la’inodë "d’és-’vapèiiW’eiï-France, et qui fut le p rentier ino-dèle dé ce qti’on :, Vpptfl ; iit ’PUits, lè"a2 octobre. 16’2'2.3ravait au mi-Ireude ces petitessé’s d’excellentes qualités. "Il ètaîf généreux el rec’onuàissiint. Gé-fiit lui qui -fit embaumei à ses ’frais’ et trarisporter l’iTÛtable de Luynés ;. que ses gens pillèrent au point’de ne pas laissér ! un’(lrap pour l’ériseyelir. ̃̃ ’̃