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Ces derniers vers n’auroient point de modèle.
Mais aux pinceaux de la nature épris
La gloire échappe et n’en est point le prix.
Ma Muse est simple, et rougissante et nue ;
Je dois mourir ainsi que l’humble fleur
Oui passe à l’ombre, et seulement connue
De ces ruisseaux qui faisoient son bonheur.


FIN DES TABLEAUX DE LA NATURE