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LETTRE XXI. AU CITOY^:^- la veau ,

lîÉDACTKtR Dr JOrr.>.\L ce I.A MO-NTAGM!.

Paris, le S scptenibie 1793, l'an 11 de la ri('pi!l)liquc une et indivisible.

L'impartialité que vous avez montrée , ci- toyen , en rendrant compte de la dénonciation de Tobiezen-Duby , contre plusieurs citoyens at- tachés à la bibliothèque nationale , et en insérant le lendemain dans votre journal la note du dé- nonciateur, me laisse lieu d'espérer aussi que vous voudrez bien y donner une place à ma lettre.

Un journaliste plus dur que vous a trouvé c[u'une lettre flagorneuse de Tobiezen-Uuby à la citoyenne Roland n'était pas pour moi imc justification suffisante : et cela est vrai j mais avant que je connusse les chefs d'accusation, de quoi voulait-on que je me justifiasse? et n'était-il pas naturel de faire connaître d'abord l'accusateur et ses motifs? C'est à quoi paraissait propre la lettre de Tobiezen-Didjy à la citoyenne Roland ; etje vous prie d'en rendre juges, par l'impres- sion, les républicains auxquels il croit pouvoir

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