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INTRODUCTION.
Dans une lettre à l’abbé d’Olivet, Voltaire s’exprimait ainsi :
« Vous ne me condamnerez pas sans doute quand je vous répéterai que le grec et le latin sont, à toutes les autres langues du monde, ce que le jeu d’échecs est au jeu de dames, et ce qu’une belle danse est à une démarche ordinaire. »
Quel eût été l’étonnement du philosophe, si on lui eût dit qu’il existait une langue au moins aussi parfaite que le grec et le latin,