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DE LA BIBLIOTHÈQUE DE RENNES.

chaque chapitre… Par monsieur Antoine Arnauld, prestrc, docteur eu théologie de la maison de Sorbonne. [Copie manuscrite exécutée sur la" nouvelle édition. A Paris, chez Jacques-Henry Pralard... 1718. » Ces trois pièces sont reliées avec un imprimé de 80 pages in-4o, intitulé : Extraits de V histoire ecclésiastique de M. Fleury, touchant l’arrianisme,pour servir â l’histoire des temps présens. Tome III, liv. Xe, in-4o, édit, de 1713. — M.DCC.XXIX.

XVIIIe siècle. Papier. 200 feuillets. 223 sur 164 millim. Rel. veau. 48 (39). « Recueil de tout ce qui s’est fait et passé au sujet des refus des sacremens à différens particuliers, [tant] de la ville de Paris qu’autres provinces, faute par eux de représenter un billet de confession, d’accepter la Constitution (Unigenitus) et de la regarder comme règle de foy, commencé le 23 mars 1752 et fini le [6 septembre 1753]. » 1°. Fol. 1. Journal du parlement de Paris, depuis le jeudi 23 mars 1752 jusqu’au 11 mai 1753. Se termine par la lettre du Roi, datée de ce jour, transférant la Grand’chambre à Pontoise. 2°. Fol. 95. a Suitte des affaires du tems, le Parlement ne donnant plus d’arrêts. » — Commencement : « Question curieuse : Si Mr de Beaumont, archevêque de Paris, est schismatique et s’il peut, en cette qualité, estre juge par les pairs du royaume... « 3°. Fol. 97. a Consultation de plusieurs canonistes et avocats de Paris sur la compétence des juges séculiers par raport au refus des sacremens. »

4°. Fol. 100 . « Lettre de Mr l’évêque d’Amiens à Mr le Procureur général du parlement de Paris, du 3e avril 1753, au sujet d’une lettre écrite par ce prélat aux frères Dominicains d’Amiens, sur laquelle le Parlement a ordonné d’informer. »

5°. Fol. 101 v°. « Le Tombeau de la Sorbonne, traduit du latin » (à propos de la thèse de l’abbé de Prades). —Commencement : « Lorsque la Sorbonne étoit occupée à censurer des livres de phisique et jurisprudence et qu’on croioit scs disparades au comble, un nouvel orage porta son vaisseau sans gouvernail d’un autre côté... » 6°. Fol. 106. « Copie et traduction d’un écrit latin trouvé dans Paris, intitulé : Discour [s_préparatoire aux habitans de Paris, et à toute la nation, française. „ — Commencement ; « Malheur à nous, chers coiicitoiciis, nous sommes menacés de la plus cruelle de toutes les pestes.. »

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