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réfectoire le jour de la fête de saint Paul, si cela lui était agréable, à condition de donner un esturgeon ce jour-là. Les moines avaient alors maigre pitance. La chronique donne assez à entendre que le chevalier Méry, en se passant la fantaisie de manger à la table des moines, n’avait pas oublié de fournir un supplément à son dîner[1].



  1. Annales Ord. S. Bened., t. iv, p. 713.