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qu’on ne le trouve pas ailleurs. Je ne croyois pas que tous ces Abbés, qu’on voit sur les Boulevards, chez les Sculpteurs, fussent si pesans.

M. DE St. IVAL.

C’est pourtant là que Monsieur de Leurmont a acheté le sien ; je m’en suis informé, pour y envoyer mon Tailleur, afin que mon habillement fût tout pareil.

LABRIE.

Nous perdons du tems : si vous vouliez vous habiller.

M. DE St. IVAL.

Allons, tu as raison : dépêchons-nous.

LABRIE.

Tenez, voilà l’habit.

M. DE St. IVAL.

Donne.

LABRIE.

Il ne faut pas le boutonner. Là, fort bien ! Voilà le chapeau.

M. DE St. IVAL.

Et le livre ?