Page:Caouette - Une intrigante sous le règne de Frontenac, 1921.djvu/39

Cette page a été validée par deux contributeurs.
38
UNE INTRIGANTE

Henriette, debout sur le seuil de la porte, cria à sa maîtresse :

— Ben le bonsoêr, môdame, et à la revoyure !…

Le rayon a fait place à l’ombre… et la joie à la tristesse !

En route, la prisonnière, dont l’esprit est en ce moment plus ou moins lucide, marmotte souvent ces étranges paroles :

Rayon céleste,
Je te bénis !
Ombre funeste,
Je te maudis !