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Et je revis dans mes pensées
Le jardin avec ses rosiers
— Que chaque soir vous arrosiez —
Les dahlias et les pensées.
Je trouve une douceur secrète
À revivre un passé lointain,
Et, dans l’avenir incertain,
Je rêve une tendre retraite :
Dans un village solitaire
— Pareil à votre Mésery —
Où la paix divine fleurit,
Un humble et petit presbytère.
Février 1884.