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depuis les premiers temps de l’histoire, n’ont jamais eu d’autre base. Or, nous pouvons être sans inquiétude à cet égard, puisqu’il semble jusqu’à présent établi que notre race est la seule qui puisse coloniser un pays comme le nôtre et s’y maintenir.



Mais il ne convient pas de pousser trop loin une dissertation de cette nature dans un petit volume où il est convenu que l’auteur ne peut et ne doit qu’amuser ; j’en demande pardon au lecteur surpris, en faveur de mon effusion patriotique, et je retourne en hâte à nos « Places d’eau » avant que toute la saison ne s’écoule dans mes digressions prolongées.