Page:Brizeux - Œuvres, Histoires poétiques III-VII, Lemerre.djvu/153

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Un fils de tes fermiers et que ton âme juste
Souvent pare en secret d’une auréole auguste ;
En voyant tes honneurs, en voyant cet oubli,
Sur tes lauriers hâtifs tu tombes affaibli,
Et désolé, tu meurs ! Comme tout se résume
Sous la main de la vérité !
Du bonheur sans motifs tu sentais l’amertume
Et du malheur immérité.


Octobre 18…