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V

« Lorsque l’étang est calme et la lune sereine,
Vous savez, voyageur, quelle est cette sirène
Qui peigne ses cheveux, debout sur ce rocher,
Tandis qu’à l’autre bord chante un jeune nocher,
Dont la barque magique, à peine effleurant l’onde,
Rapide comme un trait, vole à la nymphe blonde ;
Et jusqu’au point du jour par la vague bercés,
Ils errent, mollement l’un à l’autre enlacés.
— Ô merveilleux conteur, merci pour ton histoire !
Elle est triste, mais douce, et mon cœur y veut croire. »