J’appris cette perte douloureuse et accablante.
Cet évenement sut loin d’opérer dans ma felle le changement d’ant que son projet de fet semblait annoncer. Il midecen me conseilloit dans cesse de la marier. se le descrais vivement car je sentais mes forces diminuer et se fremissais de l’idée de la laisser, à 16 ans. seute sur la terre. souvent je lui en parlais, mais elle me répondait qu’elle ne vouloit pas se masiit qu’après moi elle cepecoit n’avoir besoin de rien, que dans tous les cas si elle étoit destinée à ces affreux malheur, elle se retireroit dans un couvent ou elle attendroit que dices veuille avoir pitié d’elle. C’est dans cette résolution qu’elle defusa tous les partis qui lui fusent offerts. Cependant le médecin ne cersoit de me répéter, Mariez la pauvre mère, autrement vous aurez encore beaucoup à souffrir, mais que pouvais-se contre sa volonté. un jour usse de mes amies confidente de mes peines, et qui les adoucissoit en les partigiant me parla d’un juine homme qui venoit de débuter, et dont je connoissais un peu la famille. J’acceuillis cette perspective avec empressement : mais ajouta mon amie il n’a pas de fortune, Absolument rien. Qu’emporte répondis je, s’il venoit jamais à cesser d’aroir de l’amour il lui ristira dumoins un sentiment de reconnoissance qui me répondu de son amitié. et la dessus ma trompeuse imagination ne me reprécente plus que les mots d’honneur et de sovanté. mais il faisoit l’approbation de ma sille que pour aucune puissance humaine je ne voulais contenindre. Instruite par le passé ; nous nous gardames bien de lisquer une proposition qui n’auroit pas manqué d’amener un nouveau de sur mais nous contertames plusieurs tencontres, plusieurs entrevues qui sembtaient durs au hagard, et nous ne trrdames pas à nous appercetoir que ce plon avoit reussi. les deux Jeusses Jens s’acmerent, ou plutot le jeune homme seignil d’ainer car comment expliguer autrement la conduite qu’il a tenue depuis ?
L’espoir d’un avenir heureux pour masfille seul être qui me retenait à la vie, le nouvelle pour ainsi dire mon existence. à misure que le moment approchoit je me sentais renaître. l’impatience de mon gendre futur s’urpassoit jusqu’à mes desirs il me remercioit avec un telair de vérité, que je voyais dejà en lui un ami, un soutien pour ma vieillesse, un second fils ? une seule inquiétude me restoit, le craignais que ma bille, ps vu compit par un tetour sur elle même, cette tramnee bonheur que j’avais pris tant de peine à tissér. J’étais sortifiée dans cette crainte pas des marques d’inégalité dans son caractère, par les bouderies dont quelquefois elle accuiilloit les soins de son prétendu, au reste celte inégalité d’humeur, aussitôt après le mariage, fit place à une tendresse et a des prévenances qui m’étonnerent moi même lorsque je me trouvais seule avec ma fille je lui faisais des seprésentations sérieuses, mais