exister avec les chageins. Ma fûte comorout’à, ait maladde d’une lurersemsen que pendant dix nuit mois, sil craindre à tout moment pour ses jours
J’arrive au 3 novembre 1524 époque ou Je perdis son père, densi que l’en va en juger, des circonstances particulières semblent s’être cetté constemment attâchées à mes matheurs comme pour les aggraver encore. C’est éorsque J’allais donner le Cour à ma fille due je perdis ce meilleur des peres. C’est dans la roie d’une ête que me sut enleve le plus tendre comme le plus cher ses mares Je m’exprime.
Depuis la mort de mon fils, je n’avais souffert chez moi aucune réussion de plaisir. Je ne voulais pas que mes amis m’offressent un bouquel le Pour de ma fête, le tour là je le consacrais à la douleur, et l’allais repandre des Larmes et des lieuts sur la tombe de mon heny. ma fille dont le dépéris àsemant alloit toujours ésoissant conçul le mojet de me jêter elle en fû les préparatifs secrets avec une joie qui me surprit en elle e dont signerais la cause des amis me la dèrent connoitre ; et non seulement nni conseillèrent de ne pas contrarier un sexer qui anonçoit de la part de pamela un retour à de nouvelles idées, mais encore de Peindre lélonnement lorsqu’il en serait ten àe nes pas diner chez moi, et de ne rentrer que lorsqu’on viendroit ini cher cher dans une maison d’amis dont on convent. Je me tésignai, toutefois encore après m’être assurée de la santé de mon mari que depuis un ans était à montmartée dans la maison de Mr Blanche cependant partin jour ne se parsoit sans que je visse mon pauvre Branche, tous les deux jour on l’amenoit diner chez Caroline, et le jour intermédiaire care lne alloit le voir J’y pus donc le matin du jour de ma fête. il étoit si bien quernous nous promenames ensemble dans le jardin. Je lui dit que c’étoit ma fête, il me cueillie une fleur se lui fit à mon tour un boufuel et je mo le quittai, sans le moindre pressentement facheux. Je m’empressai ensuite de faire dire chez moi que je ne rentreraris pas pour dinier, et c’est pendant cette jête, cette première réusion depuis que je pleurais mon fils, qu’une mort saudaine m’enleva mon ami, le père de mes enfans ; l’homme qui malgré la perte de sa rarison, avait conservé pour moi toute la memoire du creus, qui n’ouvrait le bouche que pour me pénis, ne me tendoit les bras que pour me presser avec larmes contre sa poitrine, et auquel il échappoit quelquesois des mots si touchaux qu’ils attendrissoient ceux qui les entendoient : ce ne fus que le fendemain que