aliment; en un mot; et sans siguse, me nouressant uiniquement de mes lacmes et été mon horseble des espois. ce fut alors que ceux dévine religion, dont ses dus la protique à mes parens, vint peu à peu ramener le calme dans mon âme. Toutes mes pensées se toureurent jen Le Dièu de franté qui n'avoit soutenu contrettant d'ananto. une voix intérieure me divait souffre et patiente, et j’allais à l'église St. Ploch, et j'y passais une partie du sour en contemplation, et jamais se ne quittais léglise sans avoir revu mon hemry dont le rigase se portant alsernativement sur moi et sur la ciel m'indiquoit que la celeste demeure nous reuniroit un jour. encore en ce moment Je n’entre jamais à St. Roch sans éprouves les sentiment plus que religieux.
Mais me tâche sur la terre n'étoit pas encore sinie, mon mari reclamoit la continuité de mes soins, et parela si à plaindre aujourd'hui, cette enfant que se nouvris lons de la perte de mon père, je sentais que sa présence m'étoit indispensable. Je la retiroi de chez la respectable rDdame sauvan à qui javais confié son éducation et qui lui prediqua pendant huit ans les soins les plus touchans. C'est à cette vertueuse institutiice que ma fille doit les principes de religion et d’honneur qui consolents fortifient et font supportien les peines de lavie. Je ne trouve pas d'expressions pour tendre ce que mon ceeur ressent dis vivement pour cette excellente amie, cette seconde mèse à la quelle jes dois les vertus midistes et la résignation de ma pamela. Cette hommage que se paye à Mm Sausan ne doit pas aller jusqu'à elle, mais c'étoit un besoin pour moi d'acquittér en en parlant le tribut de ma reconnoissance.
On conçoit ficilemant que toutes mes affections maternelles durent si concentrie sur mon unique enfant et que ces affections allerent jusqu'à la foiblesse. rappeltant à ma mémoire les moindres contennités que mon hensy avoit éprouvée dans son ensance, et pour quoi, grand dieu, pour mourir sitot, je ne pouvais voir pleurér pameta. Je l'avouerait même à me consusion, si elle n'avait pas voulu travaillér, je n'aurais pas eu la force de la contraindre heureusement les germes de son éducation avoient fructifié, et sa tendresse pour moi surpassant me propre soiplese, elle s’appercut que ses progrès feroient ma consolation, le travail des lors devint son seul plaisir.
Mais quelle tableau pour elle que celui continuel de mes larmes! Ce spctacle l'affecta tellement que sa santé en jus alterée. elle eut comme moi un dégout de lavie, une tresterre en surmontable au lieu de nous consoler mutuellement, nous aigressions par les reflexions les plus sombres les douleurs dont nous avions contracté la cruelle rapituide mais elle se jeune encore, devait elle être ainsi en proie au malheur! un tetétat ne pouvoit durer, la nature à cet age demande des développemens qui ne peuvent