soit, dans la ciainte que ma jette happrensant decourrut dans mes bras et voulu plus me quitter. quelque doulauteur qu’il me fut de suive un pareil fonssil, Dieu me soutint et l’en eur le courage en songeant qui le soit de ma pauvre fille en dépendait, Je prensai mais Polocis, je montré sur le champ en voilire, et en moins de 12 jours j’avons fait quatre tenté lieues
Résolue d’entrer tout a fait dans le plan de conduite qui mes respuctables amis m’avoient tracé, jeus étos lonsque s’écrivis à ma fille qui étoit bien loin de simagence que J’étais venue à paris » de traiter avec ménagement tout ce qui avait rapport à son mari, Et pris a tâché au contraire d’outres mes remontrances, espérant ainsi par cette réserve ensers mon Gendre, et une sévérité étudie ensere ma fille, achevér de les rapprocher. Je sens vivement, j’exprime avec énergie ; souvent même hors de mesuee : mais cette fois c’était une consinaison a laquelle je me laissais aller au dela de ma véritable pensée et dautant plus favil aisément que l’agimais dans un tout que je croyais utite d’une démasche erreftéchée je faisais une faute grâse, d’un acte de desespores un Erime épouvantable. Ce sont les letres que j’ai écrités dans de pareilles dispositions d’exprit, et pour mon enfant, le sont ces reproches outres, qu’à dessuin je lui adressois, que son mari Cherché aujourd’hui à reproduire afin de s’en faire une arme contr’elle : qu’el contracte entre cette conduite de mr Auguste et celle que tenoit ators même, ma pouvre pamela qui dans les tenrs déchirantes qu’elle m’adressoit, cherchoit encore à passéer les torts de son mari, elle s’effoicait d’atribuer : sa conduite à des conseils étrangers ! tout en me disant da manière à me désesperir qu’elle n’étoit que trop convaincur que son mari la Détestait elle m’avouait en même tems, qu’elle l’aissait toujours. elle me conjusoit de revenir m’amseroit que, moi présente elle seroit en état de souffrir cent fois plus encore, et qu’elle étoit résolue, à fonce de résignation, ce desaemer son cruel auguste. Le mots malheur donne des années bonne mèse, lu sera étonnée de ma Trison. malheureuse enfan quel noble puyet, mais quelle erreure ! Compiir elle étoit loin de ce douter que son matin n’aspiroit qu’à se débarrasser d’elle pourvu qu’il contenvat son bien.
Depuis ce tems, les porsécutions sont arrivées aupoint d’être encore plus intolerables : des paroles injurieuses, des menuces le maii à passé aux violences et aux Coups non content de battre sa femme, il la fait outrager, battre par un domestique de son oncle ; lonsque la victime pleure, il lui répond par d’étroce cromes, par des riconemens insultans, par des injures les plus grossières, il la traite plus mot qu’une servante ainsi donc l’humitication, d’affreux traitement, une condition miseruble deviendroient le prix de mes sacrifices. Mos économies, le resultet de mes veilles, de mes honorables, mais pénibles traveaux, que