ce fibalon quatrr qu'accablet pour l'armterent des plus vises, des plus suisantes souleurs, elle paroit perdre de vue ses principes de religion, et sa tendresse pour sa malheureuse mère, elle tenta de s'asphopier.
en rapportant cette horrible cit constance une sueue froide flace mon cœur, je suis saisée d'un preminent d'horreur, et la plume me tombe des mains. 6 mon dieu : quoique ce soit pour moi un devoir de réveler toute la vérité, je n'ai pas la force de répéter tout ce qu'on m'a dit depuis mon retour sur la manière dont se conduisit Mr Auguste en ces sinisters moment. Je n’ai pas vu comme ceux qui m’en ont parlé l’expresion de sa physimonie lorsque sa malheureuse victime ne donnait aucun signe devie, ni cette surprise plus étrange encore, mais que je me dispense de caracteriser autrement, lorqu'elle revint à l'existence encore une fois je n'ai pas vu j’étais absente, le ciel m’a fait la grâce de me désober ce spectacle horrible épouvantable, affreux. oh combien je voudrais que le compte que m’en a été rendu put être épagéréré? accables sa femme ee cruautés inouis, se plaise à la déshonnorer autant quil est en lui, dissipet son bien, lui refuser le nécessaire, jouis de ses pleurs et des depouilles d'une mère que ce tout sacrissé pour le bonheur l’établissement de son enfant, ce sont des crimes sans doute; mais cependant ce n’est pas la mort la mort avec toute ses horreurs, avec ses convulsions, son agonie, et bien, la victime étoit là, elle n’avoit pas 18 ans; et lorsqu'enfin elle fiei rendue à la vie, aucune impéession ne se manifeste sur la figuse immobile de son masi qu'elle appellait de la main et des yeux. On mon dieu! donnez moi la force de ne pas croire à une telle infamée.
Il n'y avoit pas une heure que j'avais reçu à masseille la nouvelle de cette odieuse catastrophe, que déjà j'étais en voituse n'emportant d'autre vêtement que celui que J'avais sur moi. Je prule la route jour et nuit, et j'arrive à paris, mon enfant heureusement étoit sauvé. lrin de mes amis. l'état de cette personne, dans le monde la considération dont il jouit lui ont donné depuis longtems un grand accendant sur moi. en homme sage, il en profita pour me calmes, il me dit que tous ceux qui connoissent le menuge de ma fille sont bientôt revenus des terts qui son mars avoit cherché à lui donner auprès D'eux, et que ml auguste à force d'épagération et de contradiction portait dans tous les esprits une triste conviction contre lui même qu'il esperoit que de ce dernier évènement; tout Jumole qu'ils étoit, il en résultiroit aumoins ce bien qu’il auroit à l’avenie de meilleur procédés pour la femme, que le calme paroissait devoir se rétablie qu'il fallait que je m'abstinsse de prendre le partie de ma fille, parce que mon appui pourroit servir de prétepte contre la reconciliation à laquelle ils travailloient, qu'ils qu'il falloit même lui laissir ignorér mon arrivée, il m'en retourner sans avoir vu quique ce