avez vous bubleez, s’état l’étonnement et le ravissement que vous veniez me temoigner en me tendan comipté de ses déponses naises et ingenues ! Ne preniez vous pas plaisir à venir, en secretirire avec moi de sa candeur et de son innocence enfantine, de son poureurs ignorance, de son stiépide étonnement sur les choses même les plus simples, etonnement quelle devoit à l’atten tion que j’avais prise de ne la mêner jamais au theutre ? Allyz M°, on ne franchit pas si vacilement et en un instant la dictance énormé qui sipase la vertu de l’avitivement
Dans le commencement des plaintes de M. auguste et lorsqu’il n’en était encore qu’a des reproches vagues mes amis m’écrivirent pour m’engager à faire quelques efforts sur le carnetère d’enfance de ma pelle sur la suite inséparable de ma Poiblesse pour elle, sur sa tête légère, inconsidérée, sur ses enfantillages en un mot ; mais aucun n’attaque un seul inétant sa conduite, et ses principes ; ce fut précisement l’excès des plaintes du mars que les éclaira sur sa faussité et son hypocrisie
voila donc le prix de mes sacrifices et de mon amour ! C’est par des accurations odieuses, épouvantables, qu’un Gendre, que je n’ose qu’élifier, paye mes bontés, ma tendreme et puis qu’il faut le dire Les bouens ttous lesquels j’ai fait drsparoître son denuement ! apein à til franchi les soibles appointemens que, comme débutant, il avoit à l’époque de son mariage, à peine sa profession lui à telle journé les moyens de sutrister, qu’il se la barbarie de refuver le prix à l’épouse que lui apporte lairance, qu’il a l’indigrité de réduire à une seule robe la femme qui lui apporta un trousseau immente peya ses dettes, et l’habille. Œul étoit-ce la ce qu’il m’avoit juré quand je lui domnois, en le pressant sur mon cœeur, Le doux nom de fils ! âme ingrate et dématié -rée, c’est pas des persidiés, par des outrages qu’ils a répondu au don que je lui ni fait de ma vie, car ma fille est ma vie tout entiere. Mais un tal ircompphé du peut durés, il offente le ciel ; il indigne la sociité, la société et le ciel me vengèrent. le flu sousd et caché de la calommie que vous avez altisé, seulement pour naireir, il vaut qu’il fette des Hlammes, qu’il éclaise la vérité, qu’il consumé le mensonge, qu’il reduise l’imposture en Cendres, et retombe, en brûlant, sur le coupable.