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elle m’embrassait en réant ; il n’attachant aucune imsortance à son étoarderie qui je jugeait plus sévèrement : laissa moi, diroit elle, profitir de ce dernier moment de liberte, le suras qu’ils prendre sa revanche, celors tu le Sumonirar à son tour. Pausse enfant elle ne trevait pas prophietives si vrai ! mais, je l’avoie, cette ligueté dans ma pamela, me peroit, et plusieurs fois il m’échappa de la reprendre en présence même du feune homme, alors et me diroit : de grace maman ne vous pâchez pas, vous me feriez prendre en Jeppe si je désient une cause de contraretée, parnale cesserée de m’aimer, cai elle m’aime. elle a m’auvaise tête C’est possible, ajoutait il en souriant ; mais elle a un exeellent cieur, elle est si bonne si jeune, tout cela n’est qu’enfantillage tems, liguidez la, vous le voyez vous même » les démonstrations de son attachement me tendoient heureuse. donce illusion devais tu être si cruellement si promptement effacie.

Enfin M le sebre père, vint me dous faire pour ston fils la demande de la main de ma fitte. Emoque ses voutus traites la question d’interêts il me répondit, mon fils n’a tien, il ne doit rien épiger ; votre cœur maternet en fera toujours trop. Je le sais d’asancé mais en honnête homme, je vous recommande une chose, C’est de ne par laiver auguste maitre abrolu de la dot. il est jeune, il a teucaup d’estintation, il pourrait alles trop vite, mais cel auguste, que son père défininait en partie quoiqu’en le ménugeant benucoup on vient de voir avec Quelle addeose il avoit su sempacet de mon esprit et de mon cœue. Je me rappelle que quand il survenoit quelques nuages entre son père et Eue, ce qui était assez proquent, Je le défendais et me fellais revenglement de son côsté. Mr le Fibvrre pousse boul me devait alors : mon fils est multiur, il vous carresse, mais vous le connoîtrez bientot vous verrez qu’ils n’a pas les qualités que votre âme lui prête. 4e

Eoin d’être déconcerté par de pareilles accusations le fils quand nous ctions seuls se jettoit à mes piods, me repétoit qu’il adorvit ma fille, et moi, moi crédute, Je croyais tant cela-et na désirais comme lui que la signature du Contrat

mais il étoit écrit que j’aurais des veux pour ne rien-vois, linsque j’en parlais c’étoit des obstacles imprévés, des papiers que manqremient, que sais je des retards singuliers on temporiroit pour être bien sur du-cœeur de ma fille, sachant que cette considération suffirait pour me diterminer à tous les sacrifices qu’on avoit en vue

Enfin on en vint aux Clauses du contrat, dont le preene se millait plus, mais ce n’était plus comme précidemment une avengle confiance de la part des parens du futur, on ne s’abandonnait plus à mne généronté, ils sagissoit encore bien moins d’en repremier l’élane, un parent du Jeune homme, le même qui la pris en pension depuis C mois qu’il abandonne sa femme, et qu’ils lui fait éprouver les plus csuils