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LOLA CORAZON
Y LAS PEQUEÑECÈS

Ce cri était de ma maîtresse qui, ayant fui Constance à mon insu, goûtait ici de paisibles transports près de mon bon ami Lorenzo Valla.

— Adorable Lola Corazon y las Pequeñecès, dis-je à cette traîtresse Espagnole, quand j’eus passé la tête par le défaut de la cloison que Valla laissait vacant, oserai-je vous demander, non pas