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• ~~L~ < · r J Chrotmut» Oiituitiiix •e%S.n « b»rii y ,s,O. Qtfo<« on S. Petri V s r 1 s. <MMfMUM)t. b, ment t’ paucA.ad myAw catfwirfawpw ’~M~WM~M*j~< tnim *ingul(uliérm*J&Hrv»*i$’ ̃ nkk station* parùuirmt, Tapamim rwn qui ftomùtabaatur ib&dim, «g** Èpiscoporum qui prmidebtmt vtl aliorum iaooiarum dignitat* teu propriis dotibut emiaentwM injicit mehtionem, eorjxmque interdàm origt’ftem oc nonnutla etiam facta jcitu digne commémorai, Atque hùtc «4 qûbd Andréas ÇAetmur haud mfdio-’ •reap«rii lutjusce fragmentant «  Genealogia Castellionem (lamûs inteCposurrit. XVI i. Centulensis chronici ab Hariutfq ’loti Monacho deinde AUtemburgensi Àbbatf cotucripti rwstrema pars quant appomimus nodum exhibet in prmeedentis tômi onrfatione jam dissolutum. Auctor ’’ni m prima f route s Ai contrarius videtur cùm ad calctrh il ! ad u/mo 1 088 je absolviise déclarât atqqe n operis decursu rem rtarret haud ’jarùm ftoc an no reeentiortm niniriun abrugatam ab.Urbano 11 i’api^in Concilia CTaromohUino ’entulensèrnAbbatiam Gervino Atfhbianensi Kpiscqpo quod annà 1095 •venisse citrà tjubium est. Verum • hxc facile concilia ntur si dixtrif Hariulfum qui 4kt GerpimjiMnentes fuit hujus ahrogfltionkm rhronico suo in reçognitiom operis tiastmodùtn intejeuisse. Xi 111. ChroniconS. Pétri Fivi Seiionensis eu jus ptures jam adhibuimuj partes nulli non geneHs ejusdéttt atque jevi scripturm ab .ertirditis anteferlur. Auctarèm Clarium loci Monachum anno 1127 fiitfm tçribendi fecisse opusque tupparem alterum ad annum lfBO prastcatum este centft Acherius « divêrso I prxsertim charattere, qtum aà^thno/ il la in atttagrapho exemplari àtffmodvertit. Et sani Clarium qui ém :ulo XII ineûnte mamtnê chrcjuûo ruo jam aiirfurverat totù octofrinta ~f.S~ 4f^toi(jfciff-«o4w’’«(|M«ctkii»* Que ^Mtr »-- -m _ !& îit&j : +*iià^mmZjk^pi* ̃̃̃frrt’fc tfirtfi#H QSknMnnflfc SoR" > CMMB J" wêêbhê JÊêêèêÊ «  aoit par leur méri*if tf» «é^dowat 1 dans ces endroit», <k mwqoer Torifine de quelqiie^unt tFèittèmx, etder&cofrîer leurs actions le» ptu» mémorable ». Dûciïéue avant nous «voit détaché de cet ouvrage un (ambeau ooni idé-, rable pour le mettre fiarmi les preuTes de soii histoire de. la Maison de Châtillon. X.VII. L’extrait qui suit et qui contient la dernière partie de ta chronique de Centule ou de S. ,Riquier, composée par nariutfe, Moine de cette maison, puis Abbé*d’Àldemborck présente une difficulté dont on a donné te dénouement dans la pré&ce du volume précédent. D’un côté l’ Auteur, en finissant, dit avoir achevé sa chronique en 1088, et de l’autre il rapporte dans s le corps 4e l’ouvrage un événement postérieur de beaucoup à cette époque. Ce»t ta démission forcée que Gervin Evéque <d’Airiiens fit de l’Abbaye de Saint Rtqùiçr en !09~, par c>rrlre, du Pape Urbain Il. Mail" cette «intiariété disparoit en disant que Hanuiler. qui survécut long- temps a Gervin, in.st-ra ce trait dans sa chronique apri-s coup, lorsque dans la suite il revit son travail X.VIII. lîn ouvrage ? d’un mérite supérieur/, dont nous avons déjà donné plusieurs morceaux, et que les Sa vans regardent comme le meilleur en son pour le siècle où il parut, c’est la icbronique de Saint Pierre le Vif composée par Clarius ,Religieux de ce Monastère. I). d’Acheri, qui en est ’éditeur, pense que Clarius ne la conduisit que jusqu’en Ir27, et que la suite jusqu’en 1180 a été composée par un autre de ses confrères. La différence de caractères, qu’il a remarquée dan» l’original, fait le principal fonde-JL JI.