Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 12.djvu/20

Cette page n’a pas encore été corrigée

PRJÊPATÎO. ̃ ̃ ̃"̃ 1 vlan», ; OttibM Noviga v.ta «M Hrrn| I -iu.Jul 1.4".1. aira.U x tante JEvêqtie de LodèveJ siège qu’il » remplit jusqu’au 30 décembre 1331 ft remplit jusqu’ u 30 décembre 3~ 1 II 4jui fut le terme de ses jours- La chro- c c nique dont fil s’agit n’esjf pas la $eule r production de sa plume^’ H a composé a beaucoup d’autres ouvrages, dans l’un c desquels nous avons trouvé ’comme on d’un nouvel extrait pbur ce volume. I prouvent que l’Auteur avoit plus de le XV. Guibîrt ."Abbé de NotreDame dé IN|ogent-sjQus-Caucy qui a gouverna ce Monastère depuis l’an 1101 jusqu’à Isa mort arrivée Tan 1120, ne lifiil |ws [lertainement un des dermers rangs ijtariiii les Ecrivains de sou siècle. Sa plume s’est exercée avec sucées sur dillérenttrs matières en divers ouvrages que 1)- d’Acberi a recueillis en un volume in- fol. publié l’an Uvd a Paris, (if recueil est leriuiné par les trois livres <|ue liuibert a laits de sa vie, ouvrage écrit avec beaucoup de candeur et de simplicité. Aussi le voil.-on tout entier dans celte production, comme dans iiii de ces Liblcau votils ou !<•> anciens se liiisoieut peindre après avoir lail na ul rage. Mais aux di’tails de mulin quidem tectiane’fuisse refertum.crilicà vero arte caruisse dedorant varia, ejus opéra rju« plt*~ rima estant manuscripta e quitus alternm adhue excerplum infrù de»cripsîmus. n le verra plus ’bas la matière Us sont restés manuscrits et eçturequede .criliqu». XV. Haud infimum sanè inier «^ iVor’ atvUui scriptores occupât sulwllittm »iu «m Guibertu* B.’Mariic de Xoviçcnto Àbhas ah annp 1101 ad annum 1 "20, quo martolitalem expt>~rtt. f aria fcliatrr- tractarit lU-g.mtientu vanu in uperibus A ./«< evilegit nttjite anno 1 t>T> l uho vol uni in,- i/i-Jol. ru/ffivit .-(rherius rttntrr /’ansiU. f forum agtnrn vlatttitint trrs ipuu.t ijr nia sua lihri t :a.n<{t>/<- i’t uff j’uco M-rt/>ti tjuô fit ut timnis mtrni au rc ttthrtlti dc<ri/>t<i /Mitait, /im nia.. ,-1t /tri vu Us rvhits .*«’» /nihtn-n-’ nid.rtiue l,audt$nrni< îuti’r.wn !, ijiuv sutis iiiit/iltiuhiitid itiijii.tr rai- ><̃ tfitt ntihi.s ^̃uppi-lil’f un ! avoir latl naulrage. Mais aux tieuui» >n j sa vie privée, iï a soin, de mêler le r<Vit de* éw4iemeii< ].ul.licv M.rlourdes’ a iVi.uvs d.- la ville de Laon ce <]ui nous a i-’um* ’1^ hhui | laiiv mi extrait non moitis utile qu’étendu. • ̃ à. i f t f ̃ t > r t V H rrrtl j I. llennan, Keligienx de I .l»lue de S. Jt-an de Laon, est uteur de liot- loiV-s des tniracles delà SamU’ r ur-r. i>ieia quelle oec.isiou il n nu- i ` l^i^) i et ouvrage, pres le meurtre emu ̃ iui> l’an 1112 sur la personne deilaudu 1 veqtiê de Laon et l’uiccnilie de ( !atlicdrale qui eu ’lut la Mute, les ( Iwnonres pour rebâtir leur l^ii» s’avisèrent <le faire une q.urte en portant suivant l’usage du lemp^ les relkiues des Sa’inb par divers- pay s Herman, à leur retour, les ayant soi pieusement interrogés dressa sur leur, récit’ ia /relation des miracles qu’ils disoient avoir été opérés sur la route %par ia vertu de ces reliques, et. sur-tout de la châsse delà Sainte Vierge. En lisant ces trois livres, nous y avo^j/ rencontré lieaucotip tic traits propre» V-