W l’édition de D. d’Acheri. Par ce È moyen nous offrons au Public la vraie leçon de ces Actes ; et nous t osons l’assurer, qu’en y joignant les [ observations que nous avons ajoui tées à la page 645 de ce Volume | il aura les Gestes des Comtes d’AnII jou aussi purs qu’il est possible de S| les avoir. | Andcgav. è puris fontibus exhausta inoj K LXIX. La grande réputation d’AiL moin Religieux de Fleuri ou S. Bẽh noit sur Loire l’un des meilleurs Historiens du 10e si&ta. a détermi ? né plusieurs Ecrivains a s’annoncer pour ses Continuateurs/ Cest ainsi qu’on a réussi à conduire l’Histoire jusqu’à l’an 1165, sous le nom d’un Auteur mort vers l’an 1008. Les Critiques conviennent unanimement que tout ce qui se trouve de l’histoire des Francs sous le nom d’Aimoin, depuis le 41*. Chap. du 4*. Livre, ne lui appartient point. C’est l’Ouvrage d’un ou de plusieurs Religieux de S. Germain des Prés, comme it est aisé de s’en convaincre par les Diplômes concernant cette Ahbiiye, et par l’Abrégé de l’Histoire de ses AblxKs. Pour reprendre la suite des faits que Pou avoit omis dans les prérédens Volumes nous commençons t’extrait de cette Histoire à l’année *.>2<» où le Continuatcur
ouvmr rappelle en jh-u de mois ce <|iii regarde les règnes de Cliarle le Simple N de buiis d’Outremer et de I.uIImiic ; omis nous supprimons tout ee (|ni est étranger à notre objet et nous rentrons assez ’pmmptcnient dans les règnes de UoImiI rt de llencu. On trouvera quelques généalogies dans re Trament sur-tout «-elle d’Amauri Comte de Monlort, père de la laineiisc lieitrade. Nous avons suivi IKnir eetle partie, le Manuscrit «le < la Bililiolhcqiic du Hoi, coté .V.>25, , 6006, 6218, quorum ,.6006 s~ccuto anus desinente duoaecimo stecttio scriptus est alter decimUtertii smculi habet charaçterem. Hit inter se^ et cum Acherii édition* cornparatùf genuinum textum r*sti>~tuimus j Lectortm admonentes ut, ope animadversionum^ pag. 645 additarum, Gesta Consulta* fenso pede percurrat. LXIX. Chronograpfu plurts gàb raram existimationem quant m inter eximios Historùe deeimi skcuU Scriptores sibi paravit Aimoinus Floriacensis sancti Be~nedicti ad ZJgerim MonachuSy stse Continuatorts ejus inscripserunt. Hinc sut» nomine Auctoris circà annum 1008 defuncti, ad annutn usque 1165 Historiam Aimoini canscriptam habemus. Quiilquid de Francorum gcstis legilur à Capite quadragesimoprimo Ubri quarti, non Aimoini, sed uni us i* ?/ plurium sancti Germani à Pratis Monachorum Opus agnoscunt uno consens u Critici ; quod certum cuique facile patebit ex C’hartis hanc Abbatùtm spcctantibus, et ex Abbatum actis summatim descriptis. f’t ordo rrstiluatur seriesque rcruni in aliis f’oluminib ;s onussarnm, e.vordium cnpit ùtud /•rcerr/tum al> unno MU) iln /mtteis rendit Anonynuis quie lli^ibus (a"<»/« Si m pi ici, lAidov’uo Transnttrino rt t Ixrtlmrio gesta unt writrn rescissis ulicnU « pntmisit> no.ftro, redinuis stntirn ml rcrna Robert i et Henriei. In ht*-’ ̃’mémento, quod c.r ,]fs. (ofier Rc»io Y" .">!>2">, dexeri/tirnu.f, inter nlias nonnullns, nt>tibis /ingénient imulrici (.omit. Mont is fort is pat ri s er/ebris ilnuxliuri llcrtnular. II Il
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