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i suas ZJndensis Episcopus commi~serat Discipulus fuit Henrieus Archidiaconus Buntindoniensis } i qui Anglican» auxit Eistoriam i atque doctis laboribus Episcopo • suo Alexandre dicatit illustravit. Qum fuerit eruditio celebris Archidiaconi qum fides Scrip̃ tort sit adhibenda, ostendent fuse, qum acturus de’ Regibus Guillelmo Rufo et Henrico 1, loqttitur Hactenus de iis quae, vel > in Libris veterum legendo reperimus vel famâ vulgante i percepimus tracta tum est. Nunc autem de his, quae vel ipsi wdimus, vel ab iis qui viderant, audivimùs pertractandum est. Ad annum usque 1 1 35 extenditur opus Hcnriçi tuneque maximi momenti habendum. In notitia Guillelmi Malmesburiensis obscrvatum est res Gallican» gentis, undecimo prxsertim seculo, vix posse ab Historia Magrue Britanriix disjungi, Eam ob causant, delecta Francorum acln ex Archidiaconi Henrici scripto seduximus. Anglorum Histvrix Libri VI pars hic édita, minus attentè rejecta est ad XI Volumen sed ne omittantur utîlia, primas an/ios undecimi seculi repet i m lis à Comité Normannitr Richardo II sicque compen diosè pergimiu ad usque Regem Guillclmum Rufum. Monerrmtis frustra orationem, ante prœlium Flastingcnse ab Auctore descriptam, nusrjuàm à Guillelmo Conquestore habitant sed conjictam fuisse ab Henrico ttuntindonicusi, qui sanè ficta et commentitia tribuerc Guillelmo nullatenus l’ut Disciple d’Aubin d’Angers, qui a voit été appellé en Angleterre par FEvèque de Lincoln et chargé de l’Ecole Episcopale. Henri fut Archidiacre de Huntington dans le même Diocèse. Il dédia son Ouvrage à l’Evêque de Lincoln Alexandre. Pour donner une idée des travaux littéraires de ce sçavant Archidiacre pour faire connoître le mérite et l’autorité- de l’Ecrivain., il suffit’de copier’ ce qu’il dit luimême, avant de commencer les regnes de Guillaume le Roux et de Henri 1 Jusqu’ici je m’en suis rapporté aux écrits des Anciens » et à ce que publioit la renom» mée mais à présent je ne dirai » que ce que j’ai vu, ou ^pris de » témoins oculaires ». Henri conduit l’Histoire d’Angleterre jusqu’à l’année 1135 c’est alors qu’elle devient importante. En rendant compte, de l’Ouvrage de Guillaume de Maliuesburi, nous avons fait observer la liaison de l’Histoire de notre nation, avec celle de la Grande Bretagne sur-tout dans le onzième siècle. Ce motif nous a fait prendre le parti d’extraire de l’Ouvrage de l’Archidiacre Henri, les faits qui regardent la France. C’est par oubli qu’on a renvoyé à ce Volume le sixième Livre de l’Histoire d’Angleterre pour réparer cette omission nous reprenons les premieres années du onzième siècle depuis Richard Il, Comte de Normandie et en l’abrégeant, nous la continuons jusqu’au Roi Guillaume le Roux. Il n’est pas nécessaire d’avertir que la prétendue Harangue de Guillaume lc Conquérant, avant la bataille u ilaslingues., est I ouvrage de li- debuùsct. magitiation de l’Ecrivain, qui n’auroit pas dû mettre dans la bouche de son Héros, des choses si contraires à la vérité. LV. On a déjà donné dilTérens LV. In Tamis III V, fil, c Extraits de la petite Chronique de FUI et A Excerpta leges brçris t