mutatus mente Rex (ait Ansehnus Gestorum Episcoporum Leodiensiura Scriptor) jubet » Episcoporum adetse caetum ¡ » epiitalam mandat viri Dei » (Vazonis) coram se recitari » recitatàj hune rectè dici Sacer» dotem hune wrè protestatur » Episcopum y qui extraneus extra> neo sibi prm cunctis ex debito » fîdclibus sanum dedùset consi• lium » Intégrant Vazonis] ad Henricum epistolam utroqtie dignam r litteris mandavit Anselmus undè miramur altutn apiul iWentissimos Historiée Franck ? Scriptoret de tam prtectaro moderationis Regix "et Ep’iscopalis libertatis specimine siientium. Cvterùm deeem post annos Lotharingiœ restitutioncm acriter repetiit Ihnricus noster. Aam aputl Lambertum Schafnaburgensem « Imperator in collo- /u » quio apud villam Civois tiabito, » à Rege Franc. contumeliosè at» que hostUiter ohjucgatus dicitiir, » quini multa sibi sxpè mentit us » fuisset, et quod partent maximum » Regni Franc. dota à patribus ejus occupatam reddere tanuliù » distitlisset ». f’erùm lisec colloexprobrationesy et ab eu tempore Alonarchid Francorunt avu/sa lica eidem conjuncta J’ucrit Latifundiorum Regiorum administratores Prxpositorum y et (tliquando l illico’rum y noinine designabantur. /idem Judiciorum in Dominicis villis exercendorum cura invigilabant. Procura tor /*»« Ltegis rnundacia adcninistrans ti6. Régis mundana administrais faptul Adalbcroncm ) non videtur %lius ctj^adaùnistratorc Regalium oossessionum. In Diplomate Régis Roberti pro Aliciacensi Cœnobio Villicus xquiparatur Officiafibus publica potestate pfxditis. Quod in aliis DiplokialUJ. t>. (il ’> s i s i
e i t r""<.tu./<. m. conservé la lettre de ce pieux et docte Prélat. Elle respire une charité et une liberté vraiment épiscopale. Le Roi fit publiquement son éloge, et témoigna combien il étoit touché de l’avis salutaire qu’il avoit reçu de la part d’un Evèque étranger tandis que ses sujets et ses fideles a’avoient pas eu le courage de le lui donner eux-mêmes. Nous sommes surpris de ne pas trouver dans nos Historiens modernes ce trait de modération et d’équité qui fait tant d’honneur à l’un de nos Monarques. 11 méritoit d’autant plus d’être transmis à la postérité, qu’il est bien capable d’apprendré à tous les siecles que la vérité, quand elle est présentée par la vertu, trouve aisément accès jusqu’au Trône des Rois. Cependant le Roi vers la fin de son Règne fit un dernier effort auprès de l’Empereur pour obtenir la restitution de ces Provinces par la voie de In négociation. Ce fut l’objet de l’entrevue de Civois qui se passa en reproches, et ne termina rien : depuis ce tems il ne fut plus question des deux Lorraines elles furent détachées pour ’plusieursC siecles de la Monarchie Françoise. cutio tota abiit in i/ianes qucrelas et < Lotluiringin per septingentos annos à permansit, usque Juin nos Ira asiate Moiellan Quant aux Officiers qui administrent le Domaine de nos Rois ils étoieut appelles Prévôts Ferimers ; et ils veilloicnt également a 1 administration de la Justice daus les Unes du Roi. Le Procureur du < R°i dont il est parlé dans le Poème 1 d’Atlalberon >jtoit t vraisemblablemeut prê|K)sé à la régie des Do- < nKHiies. Le Roi Robert dans son Di-Plônie en faveur de l’Abbaye de S. i Meimn, met l’Officier nommé en 1 latin FilHctts au rang des Juges re- i vêtus de la puissance publique. On t Diploma-
