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Fa*. 384. 

«#» medituUw posita esset. Frustra igitur Launàius ob simiUm loquendi modum à Ùngorio Turonensi et Audoèno i surpatum EccUsiom faute intni dvitatis

pomerium ùteiudere tentavit. & In Afiraculis & Adalhardi Abbatis Corbeiensis Papa Vica379. rius S. Petri appeilattJr. Botta ndus nutem corrigit hatic vocem 1 quasi erraverU Scriptor Summum Pontificum sir nominando, càm Christi Ficarius et successor S. Pétri dicendus esset. Feriun lit notât MabUfanius, Auctores ewiem vorabtdo usi sunt tisque ctd sieculum A/ qtw Papa (hristi Ficarius ftccnliari appcllationr dictus est. Aatn nntra id nomrn commune trat 1 aliis Episropis qui rt Pop* o//m rveati I sunt. 7» In Ubrà de Reliquiis | ’&Erc/csi,r S. Pionysii et alibi ^iiritnr Bobertu.s Re.v sx-piùs f(i- 381 r finis- rébus interfuisse ,^stans in ( «’Imhx» niin C-mtore oi-teris<iue ( rhonim tciionlihus, ituliitus 1 nipjia surira tenens sccptriiin i u^ac iniyvum in manibns etc. b Porrô Mivhol altéra piissimum à Reçem ita compositun^, médium- r que Monacfws in ter a ut Clrricos a m c/ioro eanentem contemtui et p ludibrio sanc · habuisset y clami- n tossetque taies actus regia majes- s’ taré prorsus indignos neqiw /o-^ cum neque décorum ut vocant Ja à Reçe servari. Sed qui. prxlu- J, cente fide humilem iihtm depre- nj Af«.«r pictatem, ex qua ma- qi rtahnt irtsolcn,s hx~r. rr~rtdi rrorrrrrr, "( humante sufwrbùt maxime con- <|». t- ’wria eamdem ii satis mirari d’ «yirrfM/ in Roberto, qui rrgias qi "lw/r dignissimè agebat partes da f rif/7/«f f Principi par crat et dij regnandi artihus et animi mag- et 4. nitudinc. 8« ZVw^ pessimos l’a mores jfW morÂof graves, qnibus de «i- de S. Adalbert pag. 363, TEglise de S- Pénis ti^t^ désignée autrement que «i elle étoit au milieu même de /la CapitaleJEn vain donc Lannoï, à Jw cause d’une semblable feçon de.&’ex*• primer employée par Gregoire de Tours et par S. Ouen, tente-Hl de i- mettre cette Eglise dans l’enceinte de Paris. 6* Dans les Miracles de S. Àdalbard Abbé de Corbie, le Pape est appellé Ficaire de S. Pierre. Or Bol» landus corrige cette expression comor me si l’auteur s’étoit trompé en qua» lifiant ainsi /le Souverain Pontife, qu’il devoit appejfler Vicaire de J. C. et suc«  cesseur de S. Pierre. Mais, comme » remarque D. Mabillon, les Auteurs ont employé les mêmes termes jusqu’au xiii siècle, que le Pape fut particulièrement nommé Vicaire de JesusChrist. Car auparavant ce nom étoit commun au* autres Evèques lesquels 1 autrefois furent aussi appelles Papes. 7" Dans le Livre touchant les Reliques de l’Eglise de S. Denis et ailleurs il est dit du Roi Robert que souvent lorsqu’il assistoit aux offices de l’Eglise, il se tenait entre les Chantres, ayant une enappe de soye et son sceptre d’or il la main. Une autre Michôl qui auroit vu le pieux Roi ainsi vêtu chanter au clitt-ur avec les Moines ou les Clercs parmi lesquels il étoit confondu, n’auroit pas manqué de le mépriser et de s’en moquer. Elle auroit regardé(une telle action comme ravilisscinentfvde la dignité royale, et lui auroit reproché de ne point sçavoir tenii son rang, ni garder les bienséances. Mais ceux qui ont les veux de la foi et qui voyent le fond de piété et d’humilité d’où partoit cette façon extraordinaire d’agir, dont l’orgueil humain est choqué, ne peuvent se lasser de l’admirer dans Robert qui remplissoit d’ailleurs dignement les devoirs de la royauté et qui ne le cédoit à aucun Prince dans

!’art de régner ni du côté de la grandeur 

d’ame. 8° Enfin à l’endroit sur- J tout