Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 10.djvu/52

Cette page n’a pas encore été corrigée

«  ’i ftf. 364. IV 385. W tiW lin Mt M^m ^Aa^la ^bJft M.^ •̃ « un ̃ ̃ ̃ i 4k ’Êà Ikk* a’ibi P il,F >v. : .r·ra~ x. k’ r OdUon !• *wr* rt8 I» MiirrKf *&nfii* de /« Philosophie. Jfoua «TerÛMon* à ce sujet, que l’antiquité de l’école de Lyon est .bien prouvée pif Heric «I par Sjtus ; et nous ajoutons que les science», et les art» fleurissent encore sans doute de 1m* jours à Lyon quoique peut-être les teins t un peu changés à tous* ceux qui) considéreroot, que différera Monastères de cette viile sont tombés ou ont été sécularisés, et que là des Manuscrits, ô doutçtir ont été mis en vente par les Chanoines, qu’on appelle Comtés. 3* Dans les Miracles de S. Agile Tannée de la Passion est prise pour celle de l’Incarnation comme on en voit quelques exemples ailleurs. 4* On lit ainsi dans la Vie de S. BerJUilfe Rosate, mère de Raudvuin’ Longue-barbe^ fut fille de Bercnger Roi d’Italie laquelle, après la mort du Pnnce Arnoul, épousa 1 / ?o/vrf /loi dr France et ayant changé de nom fut appeUèe Susanne et régna en qualité de Reine. MM- de Sainte^ j Marthe pensent do-là que cette Heine ftit répudiée par Kohcrt mais ils auroïent mieux rencontré si ils eussent cru que ce prétendu mariage de Kosale avec le IVoi Robert étoit une fable tout-à-fait à rejetter dont on ne trouve aucun vestige dans les Au^ teurs du teins. Susanneà la vérité étojjt qualifiée Reine » comme on peut le voir dans la Chronique de S. Amand pag. 280 ce qui aura été une occasion d’erreur à l’Ecrivain de lx Vie de S. Bertout qui n’a pas fait attention que les filles de Rois autrefois étoient appellées Reines. 5* L’Auteur de ta Vie de S. Bernward Evèque d’Hildeshetm >* place à Paris ^isrBasilique célèbre par le tombeau de S- Denis quoiqu’elle en soit éloignée de deux lieues ou quoiqu’elle ait été du terns dWimoin à cinq mille pas de cette ville comme le 9 chàp. de ta Vie d’Abbon ne permet pas d’en douter. De même dans les Miracles de S. Benoit pag. 349, et dans la Vie « quondaœ Hùkwophije mater k et nutri^. UUtmmmm &$&•» le mmh ^•Hrnnim mmtiauUaUm et nctè proberi *i Ntriœ H Jfa, ; es *ddim*s iMgdmmi profectb re etiam *u*c vigent sokmtUu «t i- artes quamquam mutotajbi «Pain mikU Umpora vtdebutUur formn é- ctàtibet mtoe*d**$i> varia hfc Ui collapsa àëwuitterik oui tmemiûri té veste domota et Coèkes Mis, à i Canonicù quos Comités vacant IT proh doion ticùos. a» In Min5. cutis S. AgjUi atutuj ftusionis 1- sumitur pro Incarnaùonis annole ut interdum alibi. 4* Incita S. t it Rerpfifi sic tegifur Prolixœit barbe Bakluini mater Rosala r, filia fuit Berengarii Régis Italiae, quae post mortem ArnuUi Principis Robcrto Régi Prana corum nupsit, et Susanna diçto, je mutatô i loin i ne Regina trega navit. Inde Sanmarthani putant hanc à Roberto fuisse répudiae tant at rectiùs servissent ; si fatbulam esse ejrplodendam duxistt sent laudatutn Rozahe cum Ro>berto Rege matrimanium cujus e nullum apud isluu stvi Scriptores n vextigium ocenrrit. Susanna quii"< dem vocabatttr Regina ut videre est in Chronico Elnonensi pag. T 280 qttod forsàn erroris occasio fuit S. BertulJÎ f’itm Scriptori, 7 qui non attendit *̃ Regum filias f olim Reginas fuisse appeltatas. e 5° Juctor Vit* S. Bernwardi u Episcopi HUdesheimensis PariI sus Ifcat Basilicam S. Dionysii s tumulo illustrent tametsi ab urbe e Parisiaca leucis duabus disparaît tant stu quinto àb urbe lapide é sitam tempore Aimoini, ut cens-S tôt ex cap. 9 Vit* S. Abbonis. e Sic in Miraculis S. Benedicti l pag. 349 et in Fita S. Adalbcrtt s pag. 363 eadem Ecclcsia non ï aliter désignât tir quant si in ipso