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xxviy PRMFATW. electionem Monachorum modo jure régie idagat. r Ex Epistola xj colligitur nions tum fuisse f>er m tempora ut crirn Rex de obi tu alicujiis Episeopi eer–tior rsset foetus iitteras ad Episeopum Metropolitanum seriberet qtiihus pneeipiebat ut quern ipse f’.piseopuru in loeo defuncti probaivrat et elegerat Metropolitanus orrfinaret. Colligitttr quotjue in ra tu m fuisufententia Reges nostros ut Palatini (1er ici à solo Principe mi /̃ piscopaturn desiifnari passent t cum conxmu suorurn ( onsiliariorurri iv i ’̃ pixto/u ritj patet Principes arhitran >tl>t liccre .fuites rerno–vtn ,i fonu tirti. w rrv ita f’errtt ta i’(7M <>;rC(/f<iri/>i/ 1 tint foHr/< t’nrjitnit frre rc^c/n/a pro ari>ttr ̃/(>, ¡ lu f’.pistola i.itf Pn ̃•*̃) (t rt v H–tt/t um l itult> un / :<< iax sihi rnrumnuis rt lintjtttrc > ut ri tant Mutin -f irtim timplccttintttr mult’is nr^nutt tttiy lupin crincerr conatut et uni fi allant auctoritatem if un,/ (fisirft riihiloininiis H frtilo .-trcfinji. on. p< titrât, ad fer t M >̃<• ri u (’annnibii.y ( oruiliorurn w r* -i i fh’crctis Pontiticum limnantirii/it ijua 11/ In’ci ’t’ tixt :t niiut Ii 1 l’i’i^to/a rr’ tolli^it llalu :i Wo.’itichos /• t miricriici tum a ! < firnti <>«̃ a’’ t »// i ti rniutn itrntjiitini i runi f.npu t uni niiM’ritun mu { Vi>rui t< i h i i point i tiiuiutritut >>/ ./("*v.« iurni/n, ,<<l Ir^innirui piM’t>, t<ir’uni, idiiitjuc ( itnilia In E/>t y toia .r.i.n.r Lupus Pariluiuni l ’jindun Eptsr. ro^at t ut ttpud Ilt^trn vfjit.iat ru i/c co^atur ) peu que le Prince donne une Abbaje avant ou après l’élection des Moines, pourvu qu’il le fasse de son autorité royale. De la Lettre xi on a inféré que c’étoit la coutume de ces tems-là que ’lorsque le Roi étoit certain de la mort d’un Eveque, it écrivît au Métropo- ` litain pour lui enjoindre d’ordonner celui i[u*il avoit choisi en la place du défunt. On infère encore que nos Rois étoient alors dans l’opinion qu’ils poiivoicnt seuls avec le consentement de leurs Conseillers désigner à l’Episeopat les Clercs du Palais. • Par la Lettre m il paroit que les Princes eroiôient ijn’-il leur étoit permis d’ôter à leur volonté les Abbés des Monastères, quand ils le juyeoient a propos et île donner à des séculiers ou à des Moines ces Monastères à conduire. Dans la Lettre u Loup s’efforce de prouver par plusieurs raisouuemens, ’qu’il est permis au Prêtres d’abandonner leurs Titres, c’est-à-dire les relises qui leur s’ont confiées, pour enibra.vser l’état Monastique. Mais il n’apporte aucune autorité soit des Canons des Conciles, soit des Décrets des Papes, qui prouve que cela soit permis c’est cependant ce que Wenilon ^ivhev. de Sens dcmandoit t expressément. Halu/r ii^éi-e de la Lettre ijue It’s Moines de Terricres s’absténoient pour lors de mander de la viande. Car Loup, qifaiid il expose la misère de >on Monasti-rc, < ne m- plaint jamais qu’il manque. *U- viande, mais de léXUiiH-s de paissons, de fromaye, et d’autres choses semblables. Dans la Lettre i |AU,p j)Iu. Parti u le F.véque de Laon de taire cnsorte aujtres du Roi qu’il ne M)jt J}as