PRMFATIO. Kra^mentum ’l Hist. Britaniii. l». Kraffinrnii ii (,’tironici PllI.tIH’l. tttiçans contra rVormannos. Haquc vcri simili us est ÎXithardum si unquam Afonachus fuit secessisse in Centulensc Monasterium potiàs quant in Pruniierise in quo !Vithardus aller jum Monaehus crat durn Me secessum rncditaretur. IX it hardi H’istorite pnejixirnus Pauli Petavii Dissertationem de IV it hardi prosapia. Historiam sequitu’r Ftt dus Argctitorati perçus sum anno 842 inter Ludovictm et Carolum à Marquardo Frehero ISotis e.vpositum cuni ejusdem Freher ; qua’stionc Qna proprit- Imgua Francorttm Regcs usi sunt ? II. Fragment uni il lad ex duobus îxs. tOdicibus y quorum unus exstabat in fiibliotheca llubcief’allis a/nul liruxellas a/ter in (ollt-ifio Tornacensi Soeietatis Jesit, edidit t/icsnius 7’<>mo 2 Script. Franc, pag. 387. Auctor hujus ("hn>nici quoi/ ab anno Nîl usque ad annum S5(> *ese cxtendit hier de se ipse tradit nernpc quod reetore Fontanellensis (anobli Joxph, qui Fbnu’censis F/tiscopus crat, tt : hal. Mardi an. 841 Mue accessit deinde po.st noremdeeim annos c.vplctos niaconatiis ordincm per mafias II tniloius lUitomag..inJiiep. suscepit :tij ha/. Oit. Sabbat o an 8(>J Inilict. ix denique anno 872, /ndictionc r Sabbato viij /dus Martii <d> Adclardo Iùitoma^. .irclncp. Prcsbxter est ordtnatus Hune fuisse viruni non rul^ans menti illtid argumenfo est qnod anno 8i~ ail lincirum paluttum perrrxit pro qnibusdam pru dus. Hoc h ravinent uni ex Ms. Codice (’art usité I ul/is-ftei e.didit Martenius 1 3 Tficsaurt Anccd. pu g. 381. Hujus initium post Argcntr ;eum ex vcteri licgistro l/onasterii S. Sergii Andi gav. ruinant Chesnifus 7omo2 Script. Franc. b C’est pourquoi il est plus vraiscmblable. que .Nithard s’il fut jamais Moine, s’étoit plutôt retire" dans le Monastère de saint. Riquier que dans celui de Priiim où l’autre Nithard étoit déjà Moine dans le teins que l’Historien songeoit à se retirer. ÎNous avons uns à la tète de l’Histoire de Nithard la Dissertation de Paul PeUui touchant la famille de Nithard. L’Histoire est suivit* du Traité tait à Strasbourg en 8i’2 entre Louis et Charle expliqué par Marquard Freher avec une «juestion du même Freher De «juelle langue les Rois de France se sont proprement servis ? II. Ce Fragment a été donné par du Chesne au Tome 2 des Ecrivains François page M7 sur deux Manuscrits, dont run étoit dans la Bibliothèque de Kouge-Cloitre à Bruxelles, et l’autre au Collège ics Jesiute.s de rouniai. I/Vuteur de cette Chronii]ue, qui a depuis 8H t jusqu’en 8.V> dit, .en parlant de lui-meme. que pendant que Joseph F%èque d’lreu gouvernoit le Monastère de S Vandrille il v étoit vt’iiu en SU "2(> de Février qu’ensuite après dix-neuf .ms accomplis il avoit reçu le Diaconat des mains de Wenilou rchevè«jue de Rouen en 8< ;i le 20 de Septembre un Samedi Indiction [) <(u’entin en 872, Indiction ."> un Samedi le S de Mars, il avoit été ordonné Prêtre par Adclard Archevêque de Rouen. Le voiage im’il fit en 8i7 au palais de Baisieu pour (juelques métairies prouve que ce n’étoit j>as un homme du commun. III. Don Martene a imprimé ce Fiaginent au Tome 3 du Trésor des Anecdotes page 381 1 sur un manuserit t de la Chartreuse de Val-Dieu. Du Chesne au Tome 2 des Feri vains François page :Wf> en a donné le conimencenient d’après d’Argentré sur un
