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P. 7, l. 22. « de l’attirer » (t688), « de l’engager » (s. 1. n. d.), « de s’engager » (1690 et 1697). Ge sont les éditions 1688 et s. l. n.d. qui disent la vérité.

P. 8, l. 20, 21. Après « eut été son père » (s. 1. n. d.), et « conneu d’autre » (1688) : « Elle luy faisoit mille petites caresses que son âge luy permettait ; et il est seur que la Guérin, quoyque laide, a esté une personne fort touchante quand elle vouloit plaire. » (1690, 1697, s. l. n. d.).

P. 10, l. 24. De « qui estoit le premier rolle » à « Heroïne du Theatre, » est supprimé dans l’édition s. l. n, d. Cette omission est, à nos yeux, une preuve de plus que l’édition—faite à Paris, selon toute apparence — est postérieure à celle de 1697. En 1715, par exemple, ceux qui avaient souvenir de Madame Duparc étaient rares.

P. 17. l. 11. « Chapelle, qui croyoit... » ( 1690, 1607, s. l. n. d.) atténue sottement l’idée de l’auteur.

P. 19, l. 2. De « et, comme tous mes efforts » à « sans doute entendeu parler » (p. 19, l. 14), est omis dans les éditions 1690, 1697 et s. l. n. d.

P. 22, l. 10. De « mais, comme son cœur ne pouvoit estre sans occupation » à « fit promettre à Baron qu’il ne verroit plus le Duc » : le premier et le second alinéas sont écourtés et adoucis dans l’édition s. l. n. d. ; le troisième n’y figure point.