Ie declaire que n’en puis mais.
Ce mot vient de magis.
MAISCELE, & maisselle, c. iouë, ou maschoire ; de maxilla. Perceual, & la Bible Historiaux.
MAISELIER, c. Boucher, de macellum.
MAISIERE de champ ou vigne. le croy que c*efir vne haye , ou autre feparation. Perce-ual.
Et li de cible fmt arrière ,
^ui s’efiûit mis en la mejicre.
En lEglife.
MAISNE'E, c. puisnée.
MAISON, masy bc mafage , viennent de mmfto.
MAISONNER, c. faire des maifons. Le Bkfin dcj faujjes Amours.
Vieilkjfe acquiert , hajiit , maifenne ,
leunejfe du bon temps fe donne.
MAISONCELLE, c. vne maisonnette.
MAISTE’, c. majeftc. Voy Deuier.
MAISTRIER, c. dominer , (èigneurier. FroiJJàrd MS.
MAISTRIE, c. domination , félon Villon , ^fibtiU-^ tê , ou fcicnce y{zow Fauche t.
MAISTREMENT, c. magiftralemenc. Pafquier. Hugues de Berjy.
MALAGE, c. mal.
MALE, c. vne maille. Tathelin.
folles-MALES, c. adions foies. Tathelin. Et encore en Gafcon, les en fans difent,^^ batre à de maies , c. tout de bon , ou de colère.
MAL, ou Mallobergs, c. Auditoires publics. D*où vient le mot de Maubergeon , Tour de Poitiers. Menao-e. Ce qui vient de mallm.
MALAIT, c’est à dire maudit. On dit aufîî maladif, en Quercy.
MALAN, c. défaut. Voy Moifon.
MALANDRE, c. maladie difficile à guérir. C’est Rr