j’en suis l’objet ainsi que ma doctrine… D’ailleurs je le prétends, le Pape lui-même est bouddhiste… à sa façon… »
Je feuillette le sommaire, et je m’arrête à ces titres suggestifs :
Le Véhicule de l’amour.
Le Culte du remords.
Le Grand Nivellement.
La récompense mercenaire.
« Le véhicule de l’amour », c’est la doctrine du Bouddha, cette loi de l’égoïsme aboli et de l’altruisme exalté ; mais ne sommes-nous point tous des bouddhistes défaillants ? Nos rechutes se renouvellent tous les jours. Comme j’en étais inquiet pour moi-même, le prophète de l’avenue Duquesne m’a rassuré en m’affirmant qu’il me suffisait de persister à lutter contre mes vices, malgré mon peu d’espérance de victoire. Et tel est « le Culte du remords », qui s’adapte à nos imperfections. Le « Grand