INDEX ALPHABÉTIQUE. Z107
l’honmie n’apprend pas ; il se souvient se proposent les hommes, 447, 473 ;.. de ce qu’il a su dans une vie antérieure, points de vue différents sous lesquels 485 ; - réfuta lion de ce dogme philo- on le considère, 449 ; — l’idée que s’en sophique par M. V. Cousin, 344 ; - font les hommes n’est qu’une ré minis doctrine enseignée dans les mystères or- Cêllce d’un état antérieur, 427, —· réside ’ phiques, 345 seulement dans le ciel, 451 ; — son iden-BÉMY (St), commentateur des écrits lité avec la substance même de Dieu, 467 ; apocryphes de Boéce, XXIV. — Cst le gouvernail dont Dieu Sc sert pour RIr :1x1sss(la), combien vaine et pre- diriger le monde, 489. caire, 79 ; - ne vaut. ui un désir ni un S’ra.·xnoN, cité, 389. regret, 83 ; — nuit souvent à ceux qui la Siiéroivs, cité, 352. possèdent, 85 ; — son impuissance à SYLVESTRE ll, auteur d’une épitaphe donner le bonheur, 429 ; — accordée de Boéce, XXV. aux méchants pour qu’ils ne deviennent Symmaorzn, beau-pere de Boiece, 29 ; pas pire., 264. —· examen des raisons alléguées à l’ap-Rlzo-RANGABÉ, cité, 385. pui de son christianisme, xx ; — son Rois (les), leurs catastrophes, matière éloge, 69 ; — sa mort. XLII à tragédies, 6 I. Srmiusoma junior, fils de Boècc, con-Roaiis inconnue aux peuples du Can- sul la même année que son frère, G5 ; case, 99. éloge de ses qualités précoces, 74.
RosorLn~:, disciple de Boèce, I. SYMMAQU12 l’épistolaire, demande le Rocssmu (J. B.), cité, 353. rétablissement de l’autel de la Victoire, RUSTICIANAQ fille de Symmaque et xx.
femme de Boèce, IX ; — élogede ses,
vertus, 63, 69 ; — renverse les statues il
de Théodoric, xmx ; — Totila refuse sa
mort aux Goths, ibitl. TACITE, cité, 353
’I’Am*Ax.r, son supplice interrompu,
S grâce à Orphée, 497.
Tit :\1rs(lc), ·’t : n quoi il diffère de Péternité, 404, 319 ; - examen des idées
SAIN’I’E·l)IAR’I’lIE (F. D. de), auteur de de Boiece à ce sujet. LV, sq. ’ la I/ie de(Ãax.iiodo1·¢·, XXLV. Trame (la), exiguité de l’espace qu’elle Scariorn (Joseph), cité, 355· occupe dans le monde, H7, ScM.n ;1=n (Jules-Cé<ar), son opinion Ti· R·i-Ui.y,15N, son mépris pour la phisur Boece. Lxxv. losophie, xxnx, xxx ; — son opinion au SÉNAT (le) inculpé de G0¤%]>l¤\’10¤. et sujet des dieux du paganisme. xxxv. défendu par Boéce, 25 ; — 50¤ l¤gl’¤îl- ’]’HÉoDA1·, c=¤racti-rc odieux de ce tude, 27. prince, xxxI><·
SÉNÈQUE (le philosophe), ¤’0¤d¤¤¤¤É Tmiononic distingue de bonne heure à mort, 45 ; — offre ses biens à Néron, ic même de B0蜒vl ; tmvaux et 1391 ·’vité. 243, 351y EBS, 3m· mission dont il le charge, VII, vin :-Siisiiitguit (le tragique), cité, 344, 380, rapporte, sur ses observations, un édit 387. tyrannique. 23 ; — son animosité contre
Siaxsivrrov (la), son rôle dans la pro- ](, 55,3 ;, 37, - proscrit le milm des duction des idées, 307. faux dieux, xv. — son irritation contre SÉv1sRIN (St), confondu par quelques l’empereur Justin, ibid ; — ses menaces lxiographes avec Borcc, XXV. contre les catholiques, ibitl. ; — nomme Snviow (Jules). cité, xxxx-xmx. un pape de sa propre autorité, xxx ;-SMLMANN (Th.), commentateur de hésitez faire périr Boèce, xm ; — sa lioéce, LXV ; ~— cité, S55. mort. XLII !.
Sotzmrr, condamné à mort, 45 ; -:1 THÉTA, (d, monogramme brodé sur interdit le mensonge, 25, la robe de la Philosophie, 7. Sorigxn, étymologie de ce mot, 390. Tnomxs DlÀQU1N (St), n’est pas l’au-Somwts, condamné à mort, 45. teur du commentaire qu’on lui attribue SOUVERAIN BIEN (le), but commun que sur le traité de la Cnrzsrihltinn, LXV.
