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ties : La mort d’un père ; Pierre Blot ; La première communion ; Le coup de grâce) ; Les fanfarons du roi ; La fée des grèves ; La fille du Juif-errant ; Fontaine aux perles ; Frère Tranquille (même texte que La Duchesse de Nemours) ; L’homme de fer (suite de La Fée des grèves) ; L’homme du gaz ; Jésuites ; Le loup blanc ; La louve ; Le mendiant noir ; L’oncle Louis (2 volumes) ; Les parvenus ; Le poisson d’or ; La première aventure de Corentin Quimper ; La quittance de minuit (2 parties : L’héritière ; La galerie du géant) ; Le régiment des géants ; La reine des épées ; Roger Bontemps, histoire d’un notaire et d’une tonne de poudre d’or ; Rollan Pied-de-fer ; Une histoire de revenants ; Valentine de Rohan ; Veillées de famille. Et de plus : Anne des Iles ; La Châtelaine de Berthor ; Les dernières fées ; Les merveilles du Mont Saint-Michel (magnifique) ; Le chevalier de Kéramour ; Romans enfantins (trois nouvelles) ; Douze femmes ; Pas de divorce, réponse à M. Alexandre Dumas.


Paul Féval, fils, né en 1860, a publié une quantité d’ouvrages, qui, au point de vue catholique, sont plutôt inquiétants.

Parmi ceux que tout le monde peut lire : Le dernier Laird ; La dette de l’orpheline ; L’écusson de Kergolack ; Le crime du juge ; La trombe de fer (un des meilleurs) ; La providence des camps ; La fiancée du corsaire ; L’invention maudite (la poudre) ; etc…


Zenaïde Fleuriot, née à Saint-Brieuc en 1829, morte en 1890. Ses quatre-vingt-trois ouvrages, pleins de finesse et d’entrain, sont toujours beaucoup lus, surtout par les jeunes filles. « L’Ami du Clergé » a fait observer justement que, si cette romancière avait été immorale comme G. Sand, elle eût été célébrée comme une femme de génie ; mais elle fut chrétienne, et la réclame, presque exclusivement faite par des hérauts boulevardiers, l’a ignorée et laissé ignorer.