Page:Berzelius Bref 1.djvu/97

Cette page a été validée par deux contributeurs.
96

65. Ceci a trait à la revue déjà mentionnée de T. Thomson, Annals of Philosophy, dont le deuxième volume (1813) contient un compte rendu des expériences en question, intitulé Experiments on the nature of Azote, of Hydrogen and of Ammonia etc., (p. 276 et suiv.).

66. Dans les Annals of Philosophy de Thomson, commençant tome II (1813) et continué tome III (1814).

67. Berzelius songe ici au fait que certains sels de l’acide antimonique, notamment ceux à base de cuivre, de cobalt et de zinc, chauffés au-dessous du rouge deviennent incandescents, c’est-à-dire manifestent un phénomène lumineux vif mais passager, après quoi, sans changer de poids, ils prennent une teinte nouvelle, ordinairement plus pâle, et deviennent insolubles dans les acides. Voir les Actes de l’Académie Royale des Sciences de Suède 1812, p. 238.

68. Ce mémoire de Berzelius, Essai — — — de fonder un système purement scientifique de la minéralogie (148 pages in 8:o), fut imprimé à Stockholm en 1814. Une édition nouvelle, considérablement augmentée, parut plus tard en français sous le titre Nouveau Système de Minéralogie. Paris 1819.

69. Le traité sur la composition des substances organiques commença à être imprimé dans le 4:e tome des Annals of Philosophy (1814) de Thomson. En français il en parut presque simultanément un résumé dans les Annales de Chimie 92 (1814) p. 141-159, tandis que le traité ne parut in extenso que dans les tomes 94 et 95 de la même revue (1815).

70. Les mémoires de Gay-Lussac sur l’iode dont il s’agit ici sont insérés dans les Annales de Chimie tome 88 (1813) et 90 (1814). Il n’existe aucun article de ce savant sur ce sujet dans le 3:e tome des Mémoires de la Société d’Arcueil, lequel, en réalité, ne parut qu’en 1817.

71. La visite de Davy à Paris eut lieu dès la fin de 1813. Il quitta la capitales de la France le 23 décembre de la même année après environ deux mois de séjour. Cf. Memoirs of the Life of Sir Humphy Davy, Bart. by John Davy, vol. I. London 1836. — Il est difficile de savoir qui est ce Blacke, peut-être cet Anglais Blake que Berzelius mentionne dans son autobiographie (p. 68) et qui a traduit en anglais son étude sur un système de la minéralogie chimique. La commission pour quel-