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les prix, depuis celui de quelques pences (2 sols) jusqu’à celui de la somme la plus considérable.

L’ouvrier représenté dans la vignette est occupé à tailler les dents d’un peigne ; à sa gauche est un banc avec des peignes entièrement finis ; on voit par terre des cornes avec lesquelles il les a fabriqués, et à gauche, dans un coin, est un tas de copeaux et de rognures de cornes.

La corne dont on fait les peignes est transparente lorsqu’elle est mince, et on l’a souvent employée en place de verre pour des carreaux de vitre.