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seur les empêche de se prêter à la frisure, et la finesse de les garder longtemps frisés. Il n’y a pas de prix fixe pour les cheveux ; mais ils se vendent en Angleterre depuis 5 schelings jusqu’à 5 liv. sterling l’once, suivant leur qualité et leur couleur.

Autrefois le perruquier tressait et frisait indistinctement les faux cheveux par les deux bouts ; mais il est reconnu aujourd’hui que ceux destinés aux perruques doivent être tressés par le bout qui croît près de la tête, et que l’autre extrémité seule doit être frisée.