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luy eſtoit pas même difficile de comprendre qu’elle y avoit part. L’application qu’elle avoit pour toutes les actions de ce Marquis, la confirmoit à tous momens dans la pensée qu’elle l’avoit touché. Elle ſuivoit ſon penchant avec ſcrupule, mais elle le ſuivoit.

Sanſac remarquoit tous les jours de petits effets de la paſſion de Mademoiſelle de Roye, qui le charmoient ; cependant dans