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deuxième partie. — la relativité généralisée.

eu égard aux conditions aux limites, est

Ceci posé, considérons l’expression

(82-14)

qui, au degré d’approximation, se réduit à

d’après la condition qui précède, les deux premiers termes détruisent le dernier terme, et il ne subsiste que le terme

que nous avons posé égal à

D’autre part, les coordonnées étant très voisines de coordonnées galiléennes, se réduit à

comparant cette expression à (82-14) qui, dans un système de coordonnées tel que représente aussi il est clair que les quantités très petites peuvent être prises égales aux écarts des à partir des valeurs constantes galiléennes. Dans un tel système de coordonnées, ces écarts satisfont l’équation (81-14).

Il importe maintenant d’examiner la condition et de voir, d’abord, si cette condition est réalisable avec notre degré d’approximation, ensuite quelles sont les coordonnées employées et quelle est la signification physique du résultat.

Dans toute région vide, on a évidemment Quelles que soient les coordonnées, pourvu que celles-ci diffèrent très peu