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de 25,000 livres de rente. Son divorce ayant été régularisé, elle se remaria avec M. R**, qui fut nommé par Bonaparte consul à Saint-Ander. Là, s’étant séparée de corps et de biens de son second mari, elle se jeta dans des affaires de commerce, chargea des bâtimens à son compte, eut un comptoir au Brésil, y fit de fréquens voyages et de très-bonnes affaires.
