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ZEUXIS. 397


petite AlterAtion des ûrconjf4nces po « , en p » rler. 0,.· a b’A"COUP plus_de rAifon de trou’Ver étrçJnge, que le Diihonaire. de lt10reri n, e diferien tI~ittfl, ou de 1.. . gagûre de ces deux Peintres, & que Jdr$~ Lloyd & Hofman n’en Ilifem qu’un pet ; tmo,. ; Pouri, qui Te ! Arde ·l’autre table.tu où un ga’Tf’. porr, it des rA ; fins, Mr. Morer ; en a parlé d’une maniere qui n, lu] fouToit faire.d honneur, puis quil en tt retran, bi les p.rincipales circonftances, n’AJa", Tien dit du jugement que Zeuxis portot. lUJ-meme de ~e tAbleau. MY. Hofmmn’a paloublié ccla, ~~s îlieIl feni d’une phr, , ! e qu’il devoit ent ; erement [uprimer ; eadem ingeoUltate, dit-il, procef1it (Zeux ; s) iratus operi ac dixit. Ces pa~oles font de Pline’— & font un très bel effet dans f OriginAL, où elles ont relation àl’! ûftoire de III gagûre, Cell.~· dire au narré de Pline, touch.â~t l’ingenuité 4ve, Lzquelle Zeuxis avoü.z qu ïlétoit vaint:u. Mais lors que dAns· un art ;. , . ., de où ilnj a rien de celte ingenu ; tÎ, on nous vient’ aprendre que Zeux ; s Teconut avec l# mêm’C. ingenuité ; 1. ~tn e !, . r’ peu vOIr· &c. 011 nous jette dans des tenebres; ~l~netrab, es, des exem.. , où nous pouvons feuleme1lt conjeét#Ter q~’J’on nous fcle~ dans 1 aon1fe.f,.me. piece toute tronquée. p’({qUtrtous les.Ab— Me h’G re de

. ~~ breviateurs font [ ! ljets a ce defJut’e, Mr.HofmJn eIl novius

9 be.&ucoup plus c.’%
cufable que My. LIÔJd, CJr quand Je perme; ,
ce dermer a retenu la phrajè, eadern ingenuitate pro— 1~J4

CelFt, qu’il.trouvo ; t dans CbarlrJ EtIenne, il lu} ~du~~n. ’: étoit Aifé de fent ;, que cbarles Edenne LA, raportoit à de la ~e :, une clJ~Jè ! Àqu~, il ren~OJoit [on ktfe~r~., ~r. LloJd l~~ ;.dea —, A [uprune ce TenvO},. ~ par ce’~, , ~n Il f’tnts flus de 168+. ’~. fenebret dans [on arucle. Ce n ~iI pas,’lue Je pTe— mois de

’.Iende excttfer entierement Ch~rleJ Etienne,’A’[on Mai, Art.

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