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Ce ne furent point des traités trompeurs, ce fut la présence de l’étranger qui fît la réconciliation. Quand les Prussiens vinrent occuper la rive droite de la Loire, l’Ille-et-Vilaine, une partie du Morbihan et des Côtes-du-Nord, « les vieux compagnons de La Rouerie et les vieux soldats de la République, les nobles spoliés par la Révolution et les jacobins retardataires » se retrouvèrent frères devant les soudards d’outre-Rhin.

Charles Baussan.