Page:Baudry - Contes choisis des frères Grimm.djvu/150

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
134


Les voleurs prirent la lettre pour la lire, et virent qu’elle enjoignait de mettre à mort le messager. Malgré la dureté de leur cœur, ils eurent pitié du



pauvre diable ; leur capitaine déchira la lettre, et en mit une autre à la place, qui enjoignait qu’aussitôt que le jeune homme arriverait, on lui fît immédiate-