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PÉLISSIER.
Ce n’est pas pour me dire adieu, cher ami, que vous allez déranger Madame Blondel ?
BLONDEL.
Rassurez-vous ! (Il jette un second caillou et appelle.) Edwige !…
(La fenêtre s’entr’ouvre. Edwige passe imperceptiblement la tête par les volets.)
EDWIGE.
Qu’y a-t-il ? C’est toi ?
BLONDEL.
Oui. Tu es encore habillée ? Comment n’es-tu pas couchée ?
EDWIGE.
Je flânais.
BLONDEL.
Tu viens pourtant d’allumer tout de suite ?
EDWIGE.
Oui. Pourquoi ?
BLONDEL.
Pour rien…
PÉLISSIER.
Au revoir, Madame.
EDWIGE, (à la fenêtre.)
Au revoir. Monsieur. Je vous demande pardon. Je suis montée ; j’étais un peu souffrante !
PÉLISSIER.
Reposez-vous. Il est déjà si tard !
(Edwige a refermé la fenêtre.)
BLONDEL.
Adieu, mon cher. (Le retenant.) Vous vous trouviez dans la salle de billard quand on a éteint ?…