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Paul ? N’est-ce pas… Il faut qu’il vienne… dis-lui qu’il le faut…

RANTZ.

Mais tant qu’il voudra !… Parbleu !

LIANE.

Tu vois bien, Maurice.

MAURICE.

Oui, maman, c’est entendu. Adieu ! Au revoir !

LIANE.

Maurice, écoute…

MAURICE, (tournant le dos, brusquement.)

Trop pressé ! (À Rantz.) À quelle heure et où puis-je vous voir demain pour les renseignements ?

RANTZ.

À mon cabinet, rue de Grenelle.

MAURICE.

Convenu.

RANTZ.

Mais encore une fois, votre mère vient de vous dire que vous pouvez…

MAURICE, (l’interrompant.)

Et je suis bien content d’être venu constater, maman que tu avais bonne mine… excellente… c’est vrai… (Avec tristesse.) Tu verras dans quelques jours, maman, il n’y paraîtra plus… plus rien… Au revoir, maman… À demain, Monsieur… (Pendant cet instant il ouvre la porte de droite pour sortir, il recule en disant.) Ah ! Quelqu’un !…

RANTZ, (s’avançant.)

Qui ?