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PAULOT.
Oh ! Richard !…
RICHARD.
Quoi ?
PAULOT, (pâle.)
Rien, rien.
IRÈNE, (rentre, poursuivie par Georget.)
Ah ! est-il bête ! il a failli tomber… Pouce !… (Elle a les cheveux presque défaits, le teint animé ; sa poitrine se soulève avec force.) Je n’en peux plus ! Je suis essoufflée !… Tenez, les voilà vos gants !… (Elle tombe sur un fauteuil, près de Georget. À Georget, à voix basse.) Chez nous… pars le premier… Je te rejoindrai…
GEORGET, (même jeu.)
Donne-moi un prétexte de partir, (Il fait un signe en montrant les gants.) Ils sont jolis maintenant… pleins de terre mouillée.
IRÈNE.
Richard vous en prêtera. N’est-ce pas ?…
RICHARD.
Certainement.
(Richard a échangé quelques mots avec Paulot qui s’en va.)
GEORGET, (à la porte, montrant le ciel éclairci.)
Qu’est-ce que je disais ?
IRÈNE.
C’est vrai ? Vite, vite !… Georget, allez détacher le lévrier noir… nous le prendrons avec nous. Et