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Je ne veux plus comprendre… je ne veux plus.

(Elle se précipite vers la maison.)

Ervoanik !

La porte est fermée, Jésus ! la porte est fermée…

Ervoanik, ouvrez…

(S’affaissant sur le seuil.)

Ayez pitié mon Dieu ! nous sommes vos enfants.

(La clef grince à l’intérieur de la maison, puis la porte s’ouvre tout doucement.)
LA FOULE.

Le voici… le voici !



Scène III


ERVOANIK, (apparaissant.)

Ne me touchez pas ma mère.

MARIA.

Miséricorde !

ERVOANIK.

Vous avez tort d’embrasser mes mains vous dis-je…