Page:Barchou de Penhoën - Histoire de la conquête de l’Inde par l’Angleterre, tome 1.djvu/412

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

de sa propre volonté, se sent libre et sans obstacle au sein du monde, il agit avec une indomptable violence ; ce qu’il veut, c’est Dieu qui le veut ; il s’élève ou s’abaisse, dans l’ordre politique, avec autant de liberté que l’oiseau dans l’atmosphère. C’est ainsi que ces deux sociétés, malgré leurs fréquents points de contact, n’ont pu se pénétrer réciproquement ; toutes deux se repoussent mutuellement de toutes leurs forces ; elles demeurent étrangères, sont profondément antipathiques l’une à l’autre.