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lecteurs du Canard les événements de cette funeste nuit.

Mon ami Népomucène a remis son poème sur le métier ; il sera bientôt prêt pour la publication. Mais je crains pour sa raison ; il me paraît sombre et livré à la mélancolie.

Népomucène n’a pas revu le fantôme.

Ni moi non plus.


POLYCARPE BARBANCHU.


FIN.